Découvre l’histoire de Cathy
Cela fait 13 ans que j’ai commencé à avoir mal au niveau de la joue, j’ai donc pris des anti-douleurs qui m’apaisaient. Cependant les douleurs revenaient constamment.
Je souffrais de maux à la joue, sans que les médecins n’en décèlent l’origine
J’ai consulté une dentiste qui m’a fait une radio panoramique, et m’a ausculté mais n’a pas pu me dire d’où provenait ces douleurs. J’étais désemparée… J’ai donc continué à prendre des antalgiques, alors que les douleurs empiraient. Je ne pouvais plus supporter les douleurs qui étaient comme des coups de poignards dans ma joue.
Sur conseil de mes collègues, je me suis rendue aux urgences neurologiques d’un hôpital parisien. J’ai été reçue par une neurologue qui m’a prescrit un antiépileptique pour neutraliser la douleur, ainsi qu’une IRM cérébrale.
Pour ce neurologue je souffrais de névralgie du trijumeau, l’irritation d’une des paires de nerfs crâniens qui détermine l’activité nerveuse du visage. Ainsi, le médecin m’a prescrit les mêmes médicaments à une dose supérieure, ce qui m’a permis de vivre sans douleur pendant 2 ans.
Et j’ai osé Jésus
Alors que j’allais à l’église Impact Centre Chrétien de manière occasionnelle, le pasteur Yvan Castanou a annoncé le début d’un jeûne de 12 jours pour la rentrée de septembre. J’ai eu à cœur d’y participer, donc j’ai commencé le jeûne 3 jours après l’église.
Au terme des 12 jours de jeûne, les douleurs se sont réveillées 3 jours plus tard et m’ont obligée à recontacter l’hôpital. Un des médecins m’a conseillé un autre traitement que je n’ai pas supporté. Ma joue enflait et était rouge.
Quelque temps après, Je me suis rendue en Province chez mes parents. Mon état empirait, j’étais fatiguée, et je ne pouvais presque plus rien avaler ni ouvrir la bouche. Je suis donc retournée aux urgences avec ma mère. La douleur était telle que le médecin a confié à ma mère que je n’aurais pas pu passer la nuit, j’aurais pu mourir étouffée.
Après des analyses, j’ai su que depuis tout ce temps je subissais une infection grave de la dent, une cellulite dentaire, qui m’aurait tuée si elle n’avait pas été traitée assez tôt. J’ai donc pu avoir le traitement nécessaire là où personne ne pouvait déterminé l’origine de cette maladie.
Je suis reconnaissante car ni la dentiste, ni la neurologue, ni le scanner n’ont pu détecter ce dont je souffrais, l’infection était masquée. C’est Jésus seul, par ce programme de 12 jours de jeûne et prière, qui a révélé le mal.
Jésus m’a montré la raison de mon mal et a permis ma véritable guérison !
